Contre des fins de mois difficiles arbitrairement prolongées par l’OCAS
Un certain nombre de bénéficiaires de ces rentes vivent des situations difficiles au plan économique et n’ont pas de réserves. Pour elles et eux, retarder jusqu’à une semaine le versement de ces montants est simplement inadmissible… Ces montants, versés jusqu’ici en tout début de mois, sont naturellement considérés par les bénéficiaires comme un revenu permettant de faire face aux échéances de la fin du mois précédent. On jonglait un peu, mais ça pouvait plus ou moins jouer… Là, les fins de mois difficiles sont étendues, parfois jusqu’au 10 du mois suivant. Cette décision de l’OCAS doit être annulée. Elle est inadmissible pour au moins trois raisons :
Enfin, à la suite d’une première levée de boucliers face à sa décision, l’OCAS a indiqué qu’elle reviendrait un peu en arrière… mais pas complètement. L’Office prétend en effet dans les médias, que ce serait «techniquement impossible», ce qui est évidemment absurde. La technique a permis et permet de faire ces versements en début de mois… Il faut revenir au statu quo ante en la matière. Groupe des retraité·e·s d’Unia Genève Renseignements: Pierre Vanek, président du Groupe des retraité·e·s d’Unia Genève
|